Une des faveurs que Dieu a honorer le Dr.Sheikh Yusuf Qardawi de par son emplacement important dans le monde islamique, est qu’il est devenu cible de tout envieux portant la haine, ayant faible ardeur et d’une âme vile, croyant que son attaque sur la personne du Sheikh soit une échelle de gloire, ce triomphe qui ne lui procurera que la colère de Dieu, des musulmans et de tous les gens rationnels.
Et récemment se fut le rédacteur en chef d’Al-Ahram, Abdul-Nasser Salameh qui a écrit un article intitulé : « C’est le moment pour Baradhi et Qaradawi de la fermer. » un article émit d’un esprit cretin, d’une âme noire et d’un cœur malade. Nous n’insultons personnes, nous sommes seulement entrain de décrire ces faits.
Si l’auteur a dit « qu’ils ne doivent plus parler », nous aurons interpréter : que c’est un point de vue et que c’est la liberté d’opinion ; mais qu’un minime article contienne une multitude d’injures et d’insolences absurdes, et sur les pages du Journal Al-Ahram, c’est une chose tellement outrageuse qu’elle n’a pas besoin de réplique.
Ça nous importe que l’article comprenne le nom d’Al-Baradhi avec Al-Qaradawi, c’est de la supercherie, en n’oubliant pas la disparité entre les deux hommes. Ça ne nous concerne pas aussi leur tentation d’insensibiliser le lecteur d’une expression attribue a Moubarak qu’étant vieillard ça lui a entrainé de transférer le pouvoir de l’état a des vieux comme lui. Et ceci a accéléré la fin de son règne. Comme si le règne de Moubarak était meilleur il y a 20 ans. On se demande qu’elle est la relation entre le vieillard qui veut le règne sur l’Egypte, et l’homme qui est à la tête des savants de notre nation, de cette ère, qui donne son opinion vis avis les différents affaires.
Est-ce que le droit de donner son opinion est accordé aux imbéciles et est interdit aux savants ?
Et si l’avis du Sheikh était similaire à celui de cet auteur incohérent, l’aurait-il (l’auteur) rejeté à cause de vieillesse?
Celui qui a prématurément devenu frêle c’est l’auteur de l’article, qui porte plainte sur le Sheikh qui préside
Une manifestation de support dans Al-Azhar Al-Sharif pour le peuple syrien, que l’auteur interprète sa révolution comme étant un soulèvement sectaire, et non une révolution contre l’injustice.
Cette hallucination a-t-elle besoin d’explication ? En notant que cet auteur, qui ne respecte pas l’attitude de la nation égyptienne ni les hommes de Al-Azhar, et ne paie pas de respect envers le sang écoule des victimes syriens, tout en désignant la plus difficile révolte contre un règne à travers l’histoire, comme étant un soulèvement sectaire, alors que les aveugles percevent ce qui se passe en Syrie, ça c’est la cécité pure, un cœur et une conscience mort et malvoyant. Il ne peut y avoir une différente justification.
Il n'y a aucun conflit sectaire en Syrie. Il y a une révolution du peuple contre une bande de criminelle qui enlève un pays de longue tradition de civilisation d’Arabisme et d’Islam. Une meute qui tue, massacre et viol les gens, et commercialise ses actes comme une lutte sectaire, ce mensonge imbécile ne peut être admis même par les enfants d'écoles primaires, tandis qu’il est approuvé par le rédacteur en chef d'Al-Ahram ?
Que la pitié soit sur Al-Ahram pour ce niveau médiocre qu’est devenu le poste de rédacteur en chef.
Et l ‘accusation que le Sheikh exécute des taches pour autrui, le Sheikh est bien connu et distingue par la populace, et de même si le Sheikh a voulu que l'auteur soit condamné ce dernier aurait été interdit de s’exprimer et emprisonner.
Le Sheikh Qaradawi est le visage culturel et scientifique de l'Égypte dans le monde Islamique, et le mépris envers ce qu’il a donné et envers ses partisans, est une preuve du manque qu’a l’auteur pour la principale base de respect de soi-même et des autres. Toutes autres accusations se ramènent vers l'auteur, le nuisent et ne touche en rien au Sheikh. Comme quelqu’un entrain de rosser un rocher pour l’adoucir, il ne lui cause aucun dégât, tandis que ses cornes s’affaiblissent et se détériorent.
Les gens connaissent qui est le Scheikh Qaradawi, mais cet homme qui est-il ?