Le président vénézuélien Nicolas Maduro a déclaré que « Son pays sera toujours aux côtés de la Palestine et ne la laissera pas seule dans sa juste cause. »

Dans une interview accordée aujourd’hui mardi à une radio vénézuélienne, Maduro a souligné la « solidarité de son pays avec le peuple palestinien », soulignant la nécessité de « libérer la Palestine ».

Il a souligné « le génocide qu’Israël commet dans la bande de Gaza depuis plus d’un an ».

Il a ajouté : « Défendre le droit de la Palestine à la vie, à l’indépendance et à l’existence équivaut à défendre le droit à l’existence du Venezuela, de l’Amérique latine et des Caraïbes. »

Maduro a tenu les États-Unis et la Grande-Bretagne pour responsables de l’escalade de la violence au Moyen-Orient et a déclaré : « Une guerre d’extermination est menée contre le peuple palestinien, et maintenant des attaques sont lancées contre le Liban. »

Selon les chiffres officiels, 2 044 personnes ont été martyrisées et 9 678 ont été blessées depuis le début de l’agression de l’occupation contre le Liban, le 8 octobre 2023.

D’un autre côté, le Hezbollah répond à l’agression en lançant des missiles, des drones et des obus d’artillerie ciblant des sites militaires et des colonies dans toute la Palestine occupée.

Pendant une année complète, l’armée d’occupation israélienne, soutenue par les États-Unis et l’Europe, a poursuivi son agression contre la bande de Gaza, avec ses avions bombardant les environs des hôpitaux, des bâtiments, des tours et des maisons de civils palestiniens, les détruisant au-dessus du niveau de la tête de leurs résidents et empêchant l’entrée de l’eau, de la nourriture, des médicaments et du carburant.

L’agression continue de l’occupation contre Gaza a entraîné le martyre de plus de 41 965 personnes, la blessure de plus de 97 590 autres et le déplacement de 90 % de la population de la bande de Gaza, selon les données des Nations Unies.