Au nom d’Allah, le Clément, le Miséricordieux
L’Opinion de l’Union Internationale des Savants Musulmans sur le document "Violence contre femmes». levé à la 57eme réunion des nations unies de Femme - du 4 au 15 mars 2013 :
L’Union Internationale des Savants Musulmans necessite des Nations unies à respecter la diversité religieuse, les valeurs Islamiques citées dans les conventions internationales relative aux femmes et aux enfants.
Il souligne le rejet de la violence contre les femmes tout en respectant la terminologie.
Il demande aux états islamiques d’unifier leur mot et décision sur ces documents.
Louange à Allah, et la paix et le salut au prophète Mohammad, à sa famille, a ses compagnons et à ses partisans ;
L'Union Internationale des Savants Musulmans, qui représente les masses des lettrés Islamiques de la nation suit de près la situation des femmes dans le monde d’une façon générale, et d’une façon particulière dans le monde Islamique, et voit que le bon cheminement de la justice, et l'attribution de ses droits naturels, sont les éléments additifs et constructives vers une société prospère basée sur le male et la femelle.
De ce principe l’Islam, de l’aube de cette religion, accorda une attention spéciale aux droits de la femme, dans le cadre de l’intégration et de l'équilibre, et de la distribution des rôles, pour réaliser le bonheur et l'harmonie dans la famille, qui est le cœur de la Communauté heureuse.
L'Union cependant, perçoit depuis une période de temps, que les conférences de L'ONU ont tendance parfois à des décisions qui aident à la déstabilisation et le démantèlement de la famille. Ces décisions deviennent ensuite des documents internationale (comme l’accord SIDAW et le document de Pékin et bien d’autre).Des pressions politiques et économiques sont exercés sur quelques gouvernement Islamiques pour les signer, malgré que ces décisions contredisent les grandes valeurs, et la doctrine, et croyance religieuses Islamiques de ces peuples.
Dans la 57eme réunion qui se tiendra du 4 au 15 Mars 2013, un document ayant droit : "annulez et empêchez toutes les formes de violence contre les femmes et les filles.".
Bien que l'Islam refuse la violence contre les femmes ou autrui, ce terme utilisé par l'organisme des Nations Unies et, est destiné pour être conforme avec les conventions internationales pour effacer toute les différences normales et naturelles entre les hommes et les femmes dans les rôles et les législations.
De par ce document les Nations Unies considèrent alors tout ce qui suit comme acte de violence contre les femmes et doit être éliminé :
1-La tache de maternité qui est la compétence des femmes, ce sont des rôles qui ne sont pas rémunérés, elles causent l'appauvrissement des femmes dans la famille, en échange, enrichissent les hommes du fait qu’il sort pour travailler et gagner l'argent.
2-La tutelle des hommes sur la famille est considérée comme violence contre les femmes.
3-les différences approuvées par la Shariaa Islamique entre hommes et femmes, en raison de la complémentarité de rôles entre eux, comme : la législation du mariage, la législation du divorce, la polygamie, al-eedah, dot, succession et d'autre.
4-Le droit à l’homme dans sa relations avec son épouse ; l’organisme des Nations Unies interprète la légitimité de la relation entre les hommes et les femmes (qui est basée sur le désir de l'homme), avec le manque de satisfaction des femmes complète ou temporaire, comme un acte de viol conjugal ,et si le mari l’effleure ou la touche sans son propre consentement ça se traduit comme un harcèlement sexuelle, tous ces cas sont sous le titre « la violence sexuelle » selon les Nations Unies
5-Les restrictions sur la liberté sexuelle des femmes et filles, et l’interdiction aux filles de changer leur sexe s'ils le souhaitent (les lois qui punissent le crime d'homosexualité et d'adultère).
6-Le mandat de la fille concernant son mariage.
7-La non-disposition des méthodes contraception pour les filles, et ne pas permettre l'avortement comme un moyen pour se débarrasser de la grossesse indésirable.
8-Le mariage de la fille âgée de moins de dix-huit ans.
9-Ne pas donner un nom légitime aux enfants nés de l'adultère (la descente est au père biologique, qui a commis l'adultère).
En conséquence, le nouveau document inclura chacun du suivant, qui est contraire à la loi divine :
1-Remplacement de la potestad par le partenariat, partage complet des rôles dans la famille entre hommes et femmes (la dépense + garde d'enfants+ affaires domestiques).
2-Egalité complète dans la législation du mariage (comme l'annulation: de la polygamie, al-eedah, et le mandat et la dot et les dépenses de l'homme sur la famille et aussi la permission aux femmes Musulmanes de se marier de non-musulmans).
3-l'égalite dans l’héritage.
4-Retrait de l'autorité de divorce du mari, la transmettre au pouvoir judiciaire, et le partage de toute la propriété après le divorce.
5-Donner à la femme le droit pour se plaindre sur son mari de : viol, ou harcèlement. Et les autorités compétentes doivent infliger une pénalité sur le mari, comme s’il était un étranger à son épouse.
6-Accorder aux filles une liberté sexuelle sans limites ni restrictions, de même pour la liberté de choisir son sexe et de le changer, et la liberté de choisir son partenaire sexuel (si elle choisit les rapports sexuels naturels ou anormaux), avec la levée de l'âge de mariage à dix-huit ans.
7-la mise à disposition de contraceptifs aux adolescents et les instruire pour les utiliser, avec la décriminalisation d'avortement pour se débarrasser de grossesses indésirables (sous le nom de droits sexuels et reproducteurs).
8-L’égalite entre la femme adultère et l’épouse, et de même l'égalité entre fils légitimes et d'enfants d'adultère en égalisant tous leurs droits.
Dans cette réunion, il y aura le suivi pour l’application des résolutions prises dans la réunion (53) ayant droit : "le partage complet de tous les rôles domestiques et financières entre les hommes et les femmes", qui s'est concentré sur la division de toutes les tâches et les responsabilités dans la maison conjugal entre le mari et l’épouse ce qui détruit le concept d'intendance, que le mari est le seul responsable des dépenses sur la famille.
Aussi ils vont émettre plusieurs résolutions suite à des propositions faites par certains États, qui tournent d'habitude autour des mêmes demandes, tout d'abord : (l'égalité des sexes) et (plus d’Independence économique pour les femmes.) Ces propositions sont particulièrement publiées par l'Amérique et les pays européens et le Japon, mais elles ont besoin d’études approfondies pour éviter que le gouvernement ne s’y implique pas lors de la signature sur les résolutions.
Le plus dangereux, c’est la demande continue par les Nations Unies aux gouvernements à soulever leurs réserves à la signature des accords, qui n’est qu’une violation de la souveraineté des États et le mépris de la volonté des peuples.
Aussi bien que la demande urgente et persistante pour signer le Protocole Facultatif à CEDAW, qui donne aux Nations unies le droit d'intervention directe dans les affaires internes et amener le Gouvernement à la Cour pénale internationale (l'ICC)((la Cour Pénale Internationale)) En cas d'une plainte à cause de l'existence d'une loi qui se différencie entre des hommes et des femmes (comme l’héritage, la polygamie et le mandat ..... etc.). Ce protocole est identifié par les Nations Unies "la loi discriminatoire ". Dans ce qui vient les Nations Unies, ces lois sont clairement contre la Sharia Islamique.
Face à cette situation actuelle l'Union Internationale des Savants Musulmans et trouve et confirme ce qui suit :
D'abord: L'Union appelle les Nations Unies de préserver les valeurs, l'éthique et les lois, qui sont mentionnés dans les messages célestes, clore par l'Islam ; pour préserver la paix et la sureté internationale.
Deuxièmement : l'Union demande aux états Islamiques d’unifié leur mot, en refusant tout le conflit avec la Shariah Islamique et les religions célestes, tant dans des documents précédents, comme la Convention sur CEDAW, Pékin et autre, ou n'importe quels documents ultérieurs qui seront présentes pour la discussion et la signature.
Troisièmement : l’Union appelle aux délégations gouvernementales qui participent, a répondre au désir des peuples en appliquant la Shariaa Islamique. Se réserver de donner accord ou signer ces propositions, et vous demande de refuser tout ce qui contredit la Shariaa et qui sera discutée lors de la 57 réunion de la comité des droits de femmes au Nation Unis.il leur demande aussi de ne pas changer dans les réservations déclarer lors de la signature aux conventions internationales pour les droits de femmes et enfants, et de ne pas signée sur des protocoles annexés a ces conventions sans faire part avec les savants et lettrés de la nation, et ce pour maintenir l’identité de ces peuples et préserver la gouvernance de ces pays.
[Allah fera toujours triompher sa volonté, mais la plupart des humains n’en sont pas conscients] :(Yusuf-21).
Doha: 15 Rabih 2nd 1434 Hgr
27 Fevrier 2013
Prof.Dr.Ali Al-Karadahi Prof. Dr.Yusuf Qaradawi
Secrétaire General de l’Union Président de l’Union